Ateliers de parentalité pour des enfants épanouis

On a rêvé un jour d’avoir des enfants.

Ils sont nés.

Et on a découvert que tout gérer, ce n’était pas si simple.

C’est que…

  • si on n’avait que le stress du boulot, ça irait!
  • si on pouvait passer une heure pour accompagner notre chérubin à enfiler sa chaussette pour la première fois, ce serait magnifique!
  • si on avait une nouvelle paire de bras qui poussait avec la naissance d’un nouvel enfant, ce serait le top (bon, un peu moins pour s’habiller, on en convient)!
  • si nos enfants avaient un bouton OFF comme leurs jouets, on pourrait souffler de temps en temps!

La réalité, c’est que l’on se retrouve, sans aucune préparation, à jongler entre les exigences de la vie moderne (métro – boulot – courses – ménage – administratif…), nos besoins propres (dodo – repas – amusement), ET les exigences liées à l’éducation de nos chères têtes blondes (être à l’heure chez la nounou, à la crèche ou à l’école; être patient; enseigner ce qu’on sait; ne pas faire tout à sa place; jouer; accompagner le développement de son autonomie; surveiller les devoirs; soigner les bobos; accueillir les émotions et le stress; et j’en passe…).

Je me souviens, quand j’étais salariée. AVANT de devenir parent, j’arrivais au travail le matin fraîche et dispose parce que j’avais bien dormi; je n’avais aucune difficulté à rester après 18h pour finir un dossier, ou à partir en déplacement, parce que personne ne dépendait de ma présence à la maison; et mes nombreuses activités culturelles et sportives, les soirs et les week-ends, me détendaient du stress que je pouvais ressentir dans mon travail.

Et puis j’ai eu des enfants. Tout à coup, chaque réunion tardive, chaque déplacement me demandait de prévoir toute une organisation (et j’étais frustrée car j’adorais mon travail et aller sur le terrain). Le matin, j’arrivais fatiguée, parce que j’avais été réveillée beaucoup trop tôt ou en plein milieu de la nuit. Le soir, je n’avais pas d’exutoire pour le stress engrangé dans la journée au travail, pire, je me prenais de plein fouet le stress engrangé par mes enfants, qui le déversaient sur moi. Et le week-end, comme je culpabilisais de laisser mes enfants si longtemps à la crèche ou chez des nounous la journée, j’avais totalement arrêté les activités qui me faisaient du bien pour passer un maximum de temps avec eux.

Au final? J’ai cumulé épuisement maternel et burn-out. Et après des mois à avoir été une collaboratrice très désagréable et peu efficace (comment être au meilleur de soi-même quand on est épuisé?), j’ai quitté mon entreprise.

Et pourtant, ce scénario aurait pu être évité.

Comment?

Tout simplement en prenant en compte le fait qu’être parent, c’est un job à plein temps, que les collaborateurs accomplissent en plus de celui pour lequel ils reçoivent un salaire.

Un job qui ajoute un stress non négligeable à celui qui est déjà potentiellement causé par le travail.

Un job pour lequel personne ne reçoit de formation.

C’est en faisant ce constat que j’ai décidé de proposer des ateliers de parentalité aux entreprises qui ont compris que leurs collaborateurs sont leurs meilleurs atouts.

Car ces ateliers offrent un espace de respiration pour libérer le stress accumulé, tout en permettant de gagner en compétences dans sa parentalité.

Imaginez un lieu où vous pouvez exprimer vos peurs d’avoir raté quelque chose parce que votre petite de 3 ans vous frappe (alors que vous n’avez jamais levé la main sur elle); ou votre frustration parce que vous avez l’impression de répéter les mêmes choses tous les jours, sans succès. Un lieu où l’on vous propose des outils concrets pour que vos enfants soient heureux et épanouis, où l’on vous écoute avec bienveillance, où vous pouvez lâchez le stress et repartir avec le sourire.

C’est ce que je propose avec les ateliers de parentalité pour des enfants épanouis.

Vous êtes une entreprise ou un CE, intéressé par la mise en place de tels ateliers auprès de vos collaborateurs? Contactez-moi: caroline(at)moiparentbienveillant.com

Des enfants épanouis, des parents apaisés, des collaborateurs plus engagés… ce serait dommage de s’en priver non?